LIVRE D'ARTISTE ...
COLLAGES DE GUILLAUME FLAGEUL
ISBN 978-2-918902-25-6 / 48 pages / 20 euros
En vente à la galerie joseph antonin - Arles
Sur commande : info@french-lizard-attitude.fr
COLLAGES DE GUILLAUME FLAGEUL
ISBN 978-2-918902-25-6 / 48 pages / 20 euros
En vente à la galerie joseph antonin - Arles
Sur commande : info@french-lizard-attitude.fr
Conte original de Guillaume Flageul, Petit garçon voulait voir la mer / Little boy wanted to see the sea, 22 pages, édition bilingue (traduction Sandra Guigonis), ISBN 978-2-918902-24-9, Galerie Joseph Antonin-Editions Lizard, 20 euros / Sur commande : info@french-lizard-attitude.fr
PUBLICATION - GALERIE JOSEPH ANTONIN
EXPOSITIONS ECCE HOMO / RESISTANCES
ISBN 978-2-918902-23-2; 2 euros
Au sommaire : avant-propos, interviews d'Anna Chrysidi, Sarah Carp, Philippe Dollo, "Cherchez le garçon" de Guillaume Flageul...
En vente à la Galerie Joseph Antonin, 40 r Emile Barrère, 13200 Arles.
Mes dames, Messieurs,
LA GALERIE JOSEPH ANTONIN BY FRENCH LIZARD ATTITUDE RECHERCHE DES INTERPRETES BENEVOLES PASSIONNES DE LITTERATURE ET/OU DE POESIE POUR UNE LECTURE-PERFORMANCE...
Conditions : tous publics; amateurs, débutants bienvenus.
" In tribute to James Joyce" / EVENEMENT PREVU EN ARLES EN MARS 2012 (PRINTEMPS DES POETES)
CONTACT : info@french-lizard-attitude.fr
LE LIVRET D' EXPOSITION THE VOYAGE OUT VIENT DE PARAITRE AUX EDITIONS LIZARD.
IL EST EN VENTE SUR COMMANDE & DISPONIBLE A LA GALERIE JOSEPH ANTONIN AINSI QU'A LA LIBRAIRIE ACTES SUD-MEJAN SUR ARLES.
_____________________________________________________________________________
THE VOYAGE OUT EXPOSITION DU 8 JUILLET AU 16 SEPTEMBRE 2011
Guillaume Flageul (peintures), Olivier Timbaud (photographies)
GALERIE JOSEPH ANTONIN 40 RUE EMILE BARRERE 13200 ARLES
______________________________________________________________________________
POUR COLLECTION...
JOSEPH HANNIBAL
All Bastards (2010)
ISBN 978-2-918902-20-1
36 pages ; 4 Euros
Recueil de différentes nouvelles de styles et de sujets graves, sarcastiques, divers. Comme son titre l’indique : le ton est grotesque, violent, ou d’esprit pessimiste. Plusieurs genres de récits ou niveaux de lecture se rencontrent : le thème de la métamorphose fantastique ou de la maladie, le quotidien réaliste et d’actualité d’un gardien de prison, la nouvelle intimiste de Noël, le rêve et son approche analytique. Où il est question, quelque soit le lieu et les protagonistes, d’une difficulté majeure, systématique, à vivre parmi les siens, d’une incapacité cruelle à faire l’économie de ce qui est tragique, amer, sans qu’un profond sentiment de malaise, d’ennui, de dégoût n’éclatent. A chaque fois, l’auteur dépeint non sans tendresse et duplicité, une situation empreinte de rage ou de douleur. Ce qui est en jeu dans ces récits-tableaux qui fonctionnent comme des pièges ou des dédales : la beauté sombre du langage, l’expression de la vie, le trouble de l’écriture, la distance nécessaire à l’émotion, la pudeur ou l’empathie. Si l’on devait retenir une seule chose : la position de l’auteur, suivant ses personnages de très près et de très loin, à la façon d’un démon ironique et acerbe ou d’un faux moralisateur, feignant le détachement pour mieux nous atteindre d’un point de vue amusé ou d’une douceur inattendue.
GUILLAUME FLAGEUL
Des Roses encore (2010)
ISBN 978-2-918902-21-8
36 pages ; 4 Euros
Objet poétique développé dans l’écrit et le visuel, composé d’un récit narratif tout en relief (histoire et personnages), ponctué d’images miniaturisées intégrées aux pages de description. Il s’agit de présenter une double exigence sur le plan artistique, celle d’un livre voué aux réminiscences de l’enfance, se déroulant dans un champ de fiction extensible, innocemment pervers, un espace où la part laissée à l’évocation de l’imaginaire, à sa recréation, est forcément très grande (littéraire et plastique). Les vignettes créées par Guillaume Flageul sont publiées ici dans une gamme simple et claire, à savoir en noir et blanc. Il s’agit de détails de collages et de photographies. Des roses encore est tour à tour un univers en prose dans lequel on pénètre par le seuil délié de l’écriture et un paysage sensible qui vous impose ses facéties, son rythme, sa réalité bien étrange ou singulière. « Les roses encore, ce sont des enfants qui, en bande, tirent la couverture à eux, s’expriment, gesticulent, se souviennent pour mieux s’entendre vivre, désirer, pour ne plus grandir, rester dans la forêt, cristalliser l’éros en corps » (G.F). La suite, publiée dans le courant de l’année prochaine, s’intitulera : L’absolu n’est pas transparent.
AURORE VAL
Le Journal des Fleurs (2010)
ISBN 978-2-918902-18-8
40 pages ; 4 Euros
Entremêlant l’intérêt du journal, méthodique et régulier, au rythme varié de son sujet (le caractère des fleurs), l’auteur disserte sur les joies infinies de la fiction et l’étrangeté de la passion botanique. Mêlant jeu et érudition maniaque, allégorie et humour, poésie et sciences naturelles, elle nous entraîne dans un espace vierge et foisonnant où les fleurs deviennent prétextes à images et les images une création végétale à part entière. Récit souple, foisonnant, sur les moyens de l’écriture, de même que sur la fraîcheur des mots et le plaisir de la (fausse) classification, Le Journal des Fleurs s’inscrit dans une démarche romantique, maniériste, baroque, qui vise à développer le maximum de couleurs, de thèmes et de variations à partir d’un motif tout à la fois naturel et artificiel, enclos et pour autant mobile. Le bonheur de la lecture ne réside-t-il dans une mise en bouche, elle-même en boucle, des idées, des ingrédients, des textures (visuelles, olfactives, tactiles), c'est-à-dire encore dans un éclatement subtil, inventif et original, des conventions ?
Le songe d’Ithaque (2010)
ISBN 978-2-918902-17-1
44 pages ; 4 Euros
Dans Le Songe d’Ithaque, c’est la méthode et la démarche qui créent la singularité du sujet, devenant lui-même l’enjeu et le but de l’aventure. S’interrogeant sur la pertinence du désir Ulysséen, sur la part de réalité du mythe et l’exigence de la fiction, l’auteur nous livre une quête géographique, identitaire, dont le propre est d’être à la fois inspirée, traversante, et sous cet angle encore indissociablement autobiographique.
AGATHE VOLERES
Nul ne le sait (2010)
ISBN 978-2-918902-19-5
52 pages ; 4 Euros
Dans Nul ne le sait, Agathe Volères revient sur six ans de travail d’écriture, avec un récit intrigant construit autour d’une problématique qui lui tient à cœur, celle de l’architecture du sacré et de l’intime. A cette veine ancienne de son inspiration, parcourue par le style épique, théâtral, se joint une dimension critique plus contemporaine, paradoxalement a-mythique. Installant le décor des personnages dans un espace temporellement incertain, utilisant avec soin les effets d’une langue classique, l’auteur dessine une cartographie affective, sensible et personnelle, en même temps qu’elle s’amuse à sonder les grands archétypes de la pensée (Dieu, le Père, la Mère, la progéniture, la descendance ou la lignée, les Enfants). Dans un château aux images troublantes, rappelant les teintes vives et brutales d’Ashby ou l’univers de la Comtesse de Ségur, l’auteur installe avec élégance et dérision la conscience tourmentée, puis la folie d’Ishkur, prince et enfant d’une généalogie monstrueuse. Au travers du portrait de ce personnage pur et instinctif, de ce récit à la fois sauvage et raisonné, l’auteur dresse un hommage au pouvoir de la création poétique, ainsi qu’au vertige de l’imaginaire.